"Le nombre 23"... Ou, comment redécouvrir Jim Carrey sous un autre jour.
Psychotons ensemble sur le nombre 23 que l'on retrouve soit-disant partout... Moi je suis né le 12 novembre...
Euh 12 + 11 = ... MAMAAAAAAAAAAAAAANNN !!!
J'habite au 23... Euh... Pas cool se film.
J'ai pas fait de recherche sur internet mais d'après le film il y a une vraie théorie sur ce chiffre.
Mais sincèrement j'adore ce film, le scénario est plutôt bien ficelé. Mais s'il vous plait amis scénaristes, arrètez de nous prendre pour des cons quand Jim Carreyr prend un bouquin soit-disant écrit par Mr TOPSY KRETT, et qu'il ne comprend pas que c'est un pseudo à la con - TOP SECRET, dès qu'il le dit dans le film nous (public) on comprend direct.
Bref un bon film comme moi j'les aime, haletant, intriguant, avec du sercret ésotérique...
23... 2 : 3 = 0,666
Hiroshima, 6 août 1945
6+8+1+9+4+5=... à votre avis
On dirait que le scénario a été écrit au crayon de papier dans un vieux train à vapeur. Et d'ailleur ça se resent dans l'atmosphère du film et dans l'image.
Pour les gens malade en bateau, prenez un médicament avant de regarder ce film. Gentillement tourné caméra à l'épaule, par un caméraman qui de toute évidence n'est pas dutout professionnel (alors que dans le scénario il travail pour une chaine de télé). On est soulagé environ 5min pendant la scène de fin, ça nous laisse juste le temps de plonger la tête dans le petit sac qu'on aura prévu à l'avance.
Autant ils nous prenent un peu pour des cons en ce qui concerne le niveau professionnel du caméraman, autant les effets spéciaux sont assez bluffant (pour moi en tout cas)... Les scènes ne sont pas bêtement innondées de sang. On est quand-même intrigué jusqu'à la fin, même si c'est pas facile d'être intrigué pendant qu'on se concentre sur les moindre recoins de l'image.
J'en reviens aux effet spéciaux. Si y'a des gens qui maitrise la notion d'infrarouge vous pourrez peut-être m'aiguiller, mais il me semble qu'une vision infrarouge n'est pas limité à un faisseau, mais c'est bien la scène entière qui est visible (en image verte).
Je ne sais pas pourquoi, mais ce film sent le "[oREC] 2" à plein nez... Il reste plein de questions en suspend, j'imagine bien le même film mais avec une équipe de tournage à l'extérieur du batiment. D'ailleur, personnellement j'aurais fais le film à l'extérieur d'abord... Pour intriguer le public et ensuite j'aurais révélé ce qui se passe à l'intérieur du batiment. Mais bon, je ne suis ni scénariste ni réalisatueur.
Petite chose qui a son importance... C'est un film espagnol, avec un doublage pas génial, et du coup on se retrouve avec un décor à la française, vieil immeuble, c'est assez destabilisant.
[oREC]
"...Tu dis que si les élections ça changeait vraiment la vie. Y a un bout d'temps, mon colon, qu'voter ça s'rait interdit !..."
Auteur : Renaud
Titre : C'est quand qu'on va où ? (paroles)
Album : A la belle de Mai
"...si l'école ça rendait les hommes libres et égaux. L'gouvernement décid'rait, qu'c'est pas bon pour les marmots!..."
Auteur : Renaud
Titre : C'est quand qu'on va où ? (paroles)
Album : A la belle de Mai
Je suis marqué à vie par le plus beau slogan publicitaire du siècle...
"On n'a jamais été aussi bien sur Terre que dans l'Espace"
Ce slogan est complet, décalé, oblige un petit moment d'adaptation pour tout remettre dans l'ordre, et surtout quand on le lit le plus simplement du monde, la phrase est limpide.